L’article ci-dessous publié en 1998 dans La Pensée et les Hommes (p. 41-53) reflète un conflit entre les historiens « accrédités » et le témoin « gênant ». Un conflit qui nuit à la vérité, car la mémoire est une partie inextricable de l’histoire humaine. Un conflit que je constate depuis 1991.